Citoyens de Libria, ils ne connaissent strictement aucun sentiments, aucune émotions, n'oubliant jamais de s'assimiler le Prozium toutes les deux heures lorsque la sonnerie retenti. Rien ne les distingues les uns des autres.
Ils croient au Père, et sont persuadés qu'en ayant sacrifier leurs émotions, ils sont plus heureux. L'idée même de ressentir ne leur traverserait même pas l'esprit.
Ils se terrent à travers les souterrains, délabrés, de Libria. Ce sont des ex-citoyens Libriens qui ont arrêté de s'assimiler du Prozium, des déviants. Ils ne
s'engagent en rien contre la ville, ses recteurs ou même le Père, ils vivent tranquillement leurs vies aux côtés de leurs sentiments et émotions. Comme s'ils vivaient à part, dans un autre monde.
On ne peut accéder à ses souterrains qu'uniquement par une salle d'étude, un passage se trouve derrière quelques bibliothèques, dans le
block 42. Mais il vous faudra avoir un contact avec un résistants afin de pouvoir activer la trappe qui vous fera descendre (il est nécessaire d'avoir un interrupteur). Une fois descendu, le polyographe, qui sent les fluctuations dû aux sentiments humains, prouvera que vous êtes un déviant.
Les résistants vendent ou troquent beaucoup entre eux, des habits, des tableaux, des objets ect ...
Les opposants vivent en dehors de Libria, ils y ont toujours vécus. Il est presqu'impossible de sortir de la ville si l'on ne se trouve pas être un recteur en mission. Ils vivent retranchés en groupes dans différentes maisons, plus ou moins éloignées de la ville. À l'inverse des résistants, ils se confrontent armement aux recteurs et aux militaires. Alors même que leur équipement ne fait pas le moins du monde le poids.
Ils vivent des ressources qu'ils trouvent aux alentours, autant dire qu'années après années, il devient de plus en plus difficile de vivre en dehors de la ville. La mort fait partie de leurs vies, les raids des recteurs étant plus que fréquents. Leur but est d'anéantir le système de Libria est de défendre la liberté.
Il n'y a quasiment aucun contact entre les différents groupes, tous étant très autonomes, mais en cas de coup dur, ils peuvent être comme une famille. Les hommes le plus souvent vont au combat, les familles restant un peu plus à l'arrière une rue ou deux plus loin.
Inutile, je crois, de préciser qu'errer dans les rues de l'Enfer est plus que risqué, c'est suicidaire.
Ils sont entraînés dès leur plus jeune âge, le plus souvent vers les six/huit ans, dans ce qu'on appelle un monastère. Ils apprennent à se connaître et à maîtriser leur corps, avant de commencer à essayer de visualiser les trajectoires de différentes armes. Leur analyse de trajectoire leur permet toujours d'agir en conséquences, et ainsi d'éviter d'être blessé. Ceux qui arrivent jusqu'au bout, les recteurs grammatons, sont des combattants extrêmement doués, qui peuvent facilement venir à bout d'une vingtaine d'ennemis sans connaître aucune difficultés - si ce ne sont que de simples ennemis, bien évidemment.
Ce sont ceux qui font respecter l'ordre, ils ont beaucoup plus de droits que les simples citoyens.
Chaque objet qu'ils récupèrent doit être répertorier dans la
tour RE-BD, où chaque passage est inscris dans une base de données, indiquant le recteur qui y a déposé tel ou tel objet. Ils sont habillés de noir à la différence des habitants et reçoivent leur mission du
centre RG.